Soutenez-vous les uns les autres, les fêtes arrivent, arrivent les fêtes et ne vous dites pas des trucs du genre: oh tu sais moi, les fêtes... ou bien: oh les fêtes moi tu sais... C'est pas mon truc.
Vous n'êtes pas seul, vous croyez l'être mais vous ne l'êtes pas ; il y a toujours quelqu'un, quelque part, que vous connaissez, qui partage votre solitude ; toujours de quoi échanger ; toujours de la vie en vous.
Et cette vie vous devance ; et cette vie a un visage, donc de la peau qui sent, de l'épiderme, du grain.
Vous existez. Vous existez pour l'autre.
L'autre existe pour vous.
Pour vous le triste sir, incapable de vous sentir uni à, par pur bourgeoisie de l'âme ô belle et grande solilitude... Que dalle ! Mettez de côté votre égo, trouvez la force d'être heureux, bien, tranquille, apaisé.
Metro-gueule
Est roi le soleil
Orange amère
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